dimanche 20 septembre 2009

La fête à la maison


Trois jours après la déception européenne face au Milan AC, les hommes de Didier Deschamps ont relevé la tête en disposant à domicile de Montpellier (4/2), dans le cadre de la 6e journée du championnat de Ligue 1.

Fiche technique :

OM 4 / Montpellier 2 (Mi-temps : 3-0)

Stade Vélodrome
Spectateurs : 52000
Arbitre : Olivier THUAL

Buteurs Olympiens : Lucho Gonzalez (31e), Niang (34e), Cissé (38e), Diawara (51e)
Avertissement Olympien :

OM : Mandanda, Bonnart, Diawara, Heinze, Taïwo (Rool 46e), Lucho Gonzalez (Ben Arfa 72e), Cissé, Cheyrou, Abriel, Brandao, Niang © (Morientes 85e)

Pour la troisième fois consécutive, Didier Deschamps a reconduit son 4/4/2 en losange. Autre élément notable, les titularisations de Laurent Bonnart et de Fabrice Abriel qui remplacent poste pour poste, Charles Kaboré (choix entraineur) et Stéphane Mbia (blessé).

Les 30 premières minutes du match furent très difficile pour l'OM, en raison d'un très pressing très haut des Montpelliérains. La phsysionomie du match bascule en faveur de l'OM à la 31e minute de jeu, lorsque Niang s'échappe sur le côté gauche et transmet en retrait à Lucho Gonzalez( 31e), qui trompe le gardien Montpelliérain du plat du pied. Cette ouverture du score allait se révéler salvatrice puisque Niang (34e) double la mise trois minutes plus tard sur un véritable one man show. Avant qu' Edouard Cissé (38e) donne trois buts d'avance aux Olympiens à la mi-temps.

A la mi-temps, Didier Deschamps procède à un changement, Rool remplace Taïwo (blessé). La seconde période repart sur le même rythme qu'en fin de première mi-temps: 51e minute de jeu: un corner botté par Benoit Cheyrou arrive sur la tête de Diawara (51e), qui fait trembler les filets Héraultais une quatrième fois.

Et à vrai dire, la suite du match ressemble à une mauvaise gestion des temps faibles et un manque de concentration au sein de la défense Marseillaise. Avec pour conséquence principale les deux buts encaissés en fin de match.

Toujours est-il, ce score final reflète bien la physionomie du match.

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